Référentiel…

J’explore mon âme avec pour seul dessein, de lire le poème écrit par mon propre destin, et où chaque vers, chaque syllabe, et chaque ponctuation, est un savant mélange d’hasard et de conspiration.

Ainsi, j’évolue au sein de cette entité, qui, régie par la neutralité de la réalité, me berce sans ne plus jamais me laisser quitter, la vacuité liée à cet instant parfait.

Seule une direction, révélée par mon interprétation, peut m’indiquer avec compassion, que la vérité ne surgie que de mon imagination, et que cela soit une simple perception, ou bien même une révélation, aimer la vie n’aboutie que par son acceptation.

Ô qu’il est sage et non prétentieux, ce doux moment où je me prête aux cieux, moi et ma conscience passerelle, nous sommes l’unique centre temporel, du monde duquel nous nous pensons réel…